J’ai découvert La Voleuse de livres en 2008. Je l’avais emprunté à la Médiathèque. J’avais été, sans surprise, attirée par son titre et sa couverture. Je me souviens avoir eu du mal à rentrer dedans. Je pense même que je l’avais mis de côté quelques temps. Et puis un matin en partant pour la fac, je l’ai repris. Il donnait l’impression de se lire vite, donc je me suis dit que c’était parfait pour le trajet en métro. Je l’ai donc recommencé et puis au bout de quelques pages, une fois les présentations faites et les premières pages passées, impossible de le lâcher. (suite…)