Terrorific Night 2012 | Disneyland Paris

Disney a lancé la Terrorific Night pour la première fois en 2008. Le succès étant au rendez-vous et les fans en redemandant, c’est devenu un évènement récurrent à partir de 2010.

Ce week-end avait lieu la Terrorific Night 4 ! Le vendredi 26 et samedi 27, le Parc Walt Disney Studios a ouvert exceptionnelement ses portes aux participants de 20h30 à 1h du matin.

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Au programme : horreur, terreur, brume, sang et froid polaire.

Ou comment Disneyland se transforme en Zombieland le temps de deux soirées.

On ne dirait pas, mais 4h30, c’est court, donc faire toutes les attractions des Studios, c’est impossible. Il fallait donc faire un choix.

Premier arrêt : Hollywood Tower Hotel (évidemment !).

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Des anciens clients se baladent dans le hall, le maitre d’hôtel était toujours aussi creepy et les grooms étaient devenus des zombies. Pour ce qui est de l’attraction : toujours aussi géniale. Pour rajouter un peu de frayeur, on nous a fait croire à une panne d’ascenseur…  Ce n’était que ma seconde fois, donc je n’ai pas encore fait la descente sans les mains, mais ça ne saurait tarder ^^

Second arrêt : Rock N’Rollercoaster !

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Beaucoup de queue, mais ça allait assez vite malgré tout et on était protégés du vent donc on a pas vraiment vu le temps passer. Pour accéder à l’attraction, il faut passer dans un couloir. A l’entrée, un policier américain avec le total look  – lunettes, menottes, casquettes et bottes – nous fait patienter ! On arrive dans le couloir : un crime a eu lieu ! Le coupable est un homme, la police photographie donc tous les hommes qui passent – afin de procéder à une identification avec un potentiel témoin sans doute. Après ça, nous faisons la connaissance d’un jeune narcissique qui a décapité son frère – quelle idée en même temps d’être plus beau que lui ! Puis, un gentil zombie nous aide à prendre prendre place dans le Rollercoaster, tout devant, dans le tout premier wagon ! Je vous laisse imaginer notre tête en ressortant, après avoir eu le vent qui nous fouettait le visage pendant tout le tour.

Troisième arrêt : Cinémagic !

On est allés à la séance de 22h50 de « Terreurs« , le court métrage réalisé par Maxime Chattam et un autre monsieur dont je n’ai pas retenu le nom. C’était sympa, mais ça ne faisait vraiment pas peur. L’idée était de nous montrer l’intérieur du décor et de nous faire croire que tout se passait au même moment (l’agent de surveillance qui est venu nous parler au début de la séance était l’un des acteurs du film). Sauf que, faire le tournage au moment où le parc est vide, le film perd un peu de sa crédibilité. Ils auraient dû mettre tous les employés du parc à profit (ou au moins ceux travaillant ce soir-là) et en faire des visiteurs du parc. Ca aurait été plus sympa de voir des gens courir dans les allées du parc, avec le brouillard noir qui les poursuit… Ou bien faire apparaitre du brouillard noir, directement dans la salle. Malgré tout, c’était sympa – ne serait-ce que parce que ça nous a permit de passer 30min au chaud ^^

Dernier arrêt : Studio Tram Tour !

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Je ne sais pas si c’était grâce au froid, à notre bonne humeur ou à Thriller de MJ, mais on n’a pas vraiment vu passer les 70min de queue ! Pour ce qui est de l’attraction, pas d’attaque du train par les zombies, ni de kidnapping. Juste des boites étranges, des bruits bizarres et des membres du DSAS contaminés. C’était d’ailleurs un peu le thème de la soirée en fait : zombies et contamination !

Et c’est d’ailleurs ça le plus cool dans la Terrorific Night : l’ambiance et les comédiens ! Les attractions ne sont qu’un bonus. Ce qui vaut vraiment d’y aller c’est avoir le parc pour nous tous seuls (parce que même s’il y avait des milliers de personnes, on se sentait privilégiés !), se perdre dans le brouillard, rencontrer Dracula, Jack The Ripper, Hannibal Lecter, se faire attaquer par des zombies et courir après TronçoMan (oui, oui, après lui, pas devant lui – c’est NOUS qui courions après sa tronçonneuse)ne jamais savoir ce qui nous attend au coin de l’allée.

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(Me suis fait vampiriser par Dracula…)

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 L’année prochaine il y aura la Terrorific Night 5 – j’y serai !

 

(Merci à Alizée pour la plupart des photos 🙂 )

Luther – Saison 1 et 2 [ BBC ]

Je ne sais plus pourquoi j’ai commencé à regarder cette série. Je crois que c’est parce que j’aimais les images que je voyais sur Tumblr, tout simplement. Je ne connaissais rien de la série, juste le nom du (anti) héros et le fait qu’il ne respectait pas toujours les règles en faisant son job.

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Pour être franche, le premier épisode m’a ennuyée. Je l’ai trouvé long et lent. J’ai attendu un mois au moins avant de m’y remettre. J’ai regardé l’épisode 2 et puis le 3. Et puis c’est bon, j’étais dedans. A la fin de la saison 1, Luther était déjà entrée au panthéon de mes séries préférées !

Luther, pour John Luther, inspecteur de police aux méthodes peu conventionnelles mais qui parvient toujours à ses fins pour arrêter les tueurs en séries. Car oui, John s’est un peu perfectionné dans la capture de tueurs en séries. Ce qui fait la merveille de cette série c’est qu’à la différence d’autres séries du genre, comme par exemple Esprits Criminels, où on cherche en même temps que l’équipe qui est le coupable, dans Luther, on le sait souvent depuis le début et on le voit même commettre ses crimes.

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La série se veut réaliste et c’est réussi. L‘atmosphère est lourde sans être sombre, les crimes sont crédibles, sans être sanglants (un épisode fait office d’exception qui confirme la règle) à tel point qu’ils pourraient s’apparenter à de simples faits divers – si on fait abstraction du fait que ce sont des crimes en série.

Tout l’intérêt réside alors dans le fait de voir John rentrer dans la tête de ces tueurs, à la façon d’un profiler, pour savoir, non pas qui ils sont, mais où ils vont attaquer ensuite, et surtout pourquoi. Et souvent, c’est le pourquoi le plus violent (oh le double épisode final de la saison 2! Vous n’en ressortirez pas indemne). John Luther, c’est un peu le Sherlock Holmes des tueurs en séries. A la différence qu’il est encore plus intelligent que Sherlock (si si, c’est possible, le double épisode final de la saison 2 vous le prouvera !)

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La série ne serait rien sans ses personnages. Certaines séries misent tout sur l’intrigue ou la réalisation au détriment des personnages. Ce n’est pas le cas dans Luther (ni dans la majorité des séries britanniques que je regarde d’ailleurs). Tout le long de la série, l’accent est mis sur les personnages, sur leur personnalité, leur rapport aux évènements, et puis surtout sur les relations entre eux.

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Il y a tout d’abord l’amitié entre John et Justin Ripley, sergent qui a fait pression pour devenir son équipier, en envoyant trois lettres par semaine pendant 9 mois. Et puis la relation de jet’aimemoinonplus avec Zoe, sa (future ex) femme qui aura profité de leur séparation et de sa mise à pied pour se trouver un autre compagnon. Il y a la relation tendue entre John et Mark North, le nouveau copain de sa femme, qui finira par passer de la haine à un mutuel respect profond, pour ne pas dire à l’amitié. Et puis il y a Jenny, la jeune fille rebelle qui réussira malgré tout à rendre John un peu plus humain. Et bien sûr, il y a la fascination mutuelle entre John et Alice Morgan, victime et meutrière de ses parents, celle qui aura réussi le crime parfait et que John n’aura pas réussi à confondre (l’aurait-il fait s’il avait pu ?)

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L’autre atout majeur de la série est sans conteste son casting. Avec en tête, son acteur principal, Idris Elba. Et le seul mot qui me vient pour le décrire c’est captivant. Il attire, il fascine, il a ce petit_truc_qui_fait_que. Il partage l’affiche avec Warren Brown, le touchant et fidèle Justin (et que certaines ont pu voir en copain délaissé dans Single Father) et Ruth Wilson (la formidable Jane Eyre) en Alice Morgan, génie, psychopathe, capable de tuer quand elle s’attache. Auxquels on peut ajouter, entre tant d’autres, Saskia Reeves (Island at War), Indira Varma (Suzie dans Torchwood), David Dawson (l’adorable Byron de Secret Diary) ou encore Paul McGann (le 8ème Docteur !); et Aimee-Ffion Edwards  dont j’ai une réelle affection pour le personnage que je découvrais véritablement pour la première fois ici.

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En bref, voilà une série captivante dont les personnages et les intrigues ne laisseront personne indifférent. A voir !

Et bonne nouvelle : diffusée tout d’abord sur Canal +, c’est maintenant Jimmy qui reprend la série. La première saison sera diffusée à partir du mercredi 24 octobre, à 20h45 (ce soir donc !), à raison de 2 épisodes par soirée. Je ne sais pas ce que vaut le doublage, mais n’hésitez pas à jeter un oeil !

Département 19 – Will Hill

Voilà un roman qui aura passé de longs mois sur mon étagère. Ce n’était jamais le bon moment. Et puis vendredi, je me suis dit qu’il était temps. Après avoir commencé, impossible de le lâcher ! Je l’ai tout de même gardé 2 jours et demi, et pourtant, j’ai eu l’impression de l’avoir lu en quelques heures.

Titre : Département 19
Titre VO : Department 19
Auteur : Will Hill
Editeur : Seuil
Tome : 1/ 5 ?

Département 19 - Will Hill

Résumé : La vie de Jamie Carpenter bascule le jour où il assiste à l’exécution de son père. Deux ans plus tard, c’est sa mère qui disparait mystérieusement… Pourchassé par des créatures, Jamie découvre l’existence du Département 19, un service gouvernemental ultrasecret chargé de contrôler les phénomènes surnaturels qui menacent l’ordre du monde. Devenu agent spécial du Département 19, Jamie fera tout pour retrouver sa mère et sauver sa vie.

Vous avez lu Dracula ? Et Frankenstein ? Vous avez aimé les romans ? Et bien sachez que ce ne sont pas des romans et que tout est vrai (enfin, dans l’ensemble – Mary Shelley ayant déformé quelques aspects de l’histoire de Frankenstein). Van Helsing, Jonathan Harker, Quincey Morris, le Dr Seward, Arthur Holmwood – ils ont vécus, en vrai. Ce sont même eux – et leurs descendants – qui sont à l’origine de la création du Département 19.

Jamie Carpenter découvre qu’il fait partie de ces descendants lorsque sa mère se fait enlever : voilà qu’un type débarque et l’emmène avec lui dans un coin reculé de l’Angleterre. Un type immense qui a des bras de longueur inégale et des boulons dans le cou. Il ne comprend pas vraiment ce qu’il se passe autour de lui, mais il est sûr de deux choses : les vampires existent et l’un d’eux à enlevé sa mère. Après un entrainement de 24h qui en général dure 9 mois et aidé de Frankenstein, de Tom, un descendant de Quincey Morris, et d’une vampire qui a tenté de lui faire la peau, Jamie se lance corps et âme à la recherche de sa mère. Il est jeune, perdu, mais terriblement déterminé. 

Le héros a beau être un adolescent de 16 ans, voilà bien un roman que je ne conseillerai pas à tous les ados justement. Parce que Département 19 c’est violent, trash, et sanglant. Âmes sensibles s’abstenir. Vraiment ! Les vampires de Département 19 sont les dignes héritiers de Vlad l’empaleur. Ils aiment tuer et voir les gens souffrir. Ils mordent, ils éviscèrent, ils torturent, ils arrachent les membres… Ils sont cruels, sanguinaires et sans pitié.

Les méchants meurent mais les gentils aussi. Le héros lui-même ne s’en sort pas toujours indemne. L’auteur décrit avec minutie les mouvements et les sons des attaques – le tout est très visuel et il est alors d’autant plus facile de se représenter la scène. L’auteur n’édulcore rien et le sang coule à flots à chaque combat. Grâce à Will Hill, Bram Stoker peut reposer en paix : non, au 21ème siècle, les vampires ne souffrent pas tous de dépression après des siècles d’existence, ils ne sont pas tous végétariens et ne brillent pas au soleil.

Avec Département 19, Will Hill ne se contente pas de nous offrir un roman original et percutant, mais aussi une suite plausible au Dracula de Bram Stoker ou au Frankenstein de Mary Shelley. On sent qu’il a lu les romans, et bien plus encore. On sent le travail de recherche derrière – que ce soit sur le mythe du vampire, que sur la façon de le faire vivre un siècle plus tard. Les évènements, la chronologie, les personnages – tout est cohérent ! Et le plus fascinant c’est qu’on se rend compte que finalement, 1892, ce n’est pas si loin que ça : l’arrière-grand-père de Jamie a connu Van Helsing et tous les autres.

Département 19 est un savant mélange entre la série Torchwood (pour le département secret créé à l’ère victorienne) et Krine, les romans de Stéphane Tamaillon (pour les personnages qui ont vraiment existés). Beaucoup d’action, un peu d’humour et d’amour et terriblement de sang –  à lire !

En vrac: Parle-moi/Bye Bye Crazy Girl/Une fille à la mer/Blackzone

J’ai lu pas mal de très bons livres dernièrement, sauf que, bien que les ayant beaucoup aimés, je n’ai pas forcément beaucoup de choses à dire dessus. Mais j’ai quand même envie de vous en parler alors voilà un billet livresque en vrac !

 Parle-moi Bye Bye Crazy Girl Une fille à la mer Blackzone

 

Parle-moi de Sarah Mlynowski

Résumé : Devorah Banks a dix-sept ans et tout va mal : le beau Brian vient de la quitter… Pour couronner le tout, elle fait tomber son portable dans une fontaine ! Ce qui, bizarrement, n’empêche pas le téléphone de sonner… et c’est le choc lorsque Devorah entend une voix bien familière au bout du fil : la sienne ! Une version d’elle-même plus jeune de quatre ans, qui n’a pas encore connu ses déboires et aurait bien besoin de ses conseils. Devorah se retrouve soudain devant une chance inespérée : tout recommencer… autrement !

Parle-moi vaut surtout d’être lu pour ses personnages si attachants et son humour. Et dans une moindre mesure, pour son histoire qui, si elle prévisible dans l’ensemble (évidemment qu’elle va tout arranger), nous réserve tout de même une jolie surprise à la fin (personnellement, je ne m’attendais pas à ça). J’ai toujours aimé ces histoires à « l’effet papillon », où un changement dans le passé à une incidence sur le futur/présent. Et pour le coup, j’ai été servie ! C’est vraiment intéressant de voir comme la Devie de 17 ans et la Devie de 13 ans ont des opinions si différentes sur un même sujet ! (je pense notamment à la réaction de l’une et de l’autre par rapport au départ de Brian…) Un roman léger et plein d’humour qui se lit vite et bien et vous fera passer une excellente après-midi (de boulot si vous avez la chance de travailler en bibliothèque !)

Bye Bye Crazy Girl de Joe Schreiber

Résumé : Le bal de fin d’année du lycée s’annonce mal pour Perry : il doit y emmener Gobija, la jeune étudiante lituanienne hébergée par ses parents. La fille la plus barbante qu’il ait jamais rencontré… Mais c’est une Gobija terriblement sexy qui se présente à la soirée. Et quand elle abat un homme de sang-froid au milieu de la piste de danse, Perry se demande s’il n’est pas en train de rêver ! Il n’a encore rien vu pourtant, car Gobija a une mission à remplir et des comptes à régler. Et elle a besoin d’un guide pour la conduire dans la nuit new-yorkaise…

Perry se préparait à passer une soirée mortellement ennuyeuse au lycée et le voilà embarqué dans une chasse à l’homme mortelle à travers les rues de New-York. Devenu chauffeur d’une fille prête à tout pour venger sa famille, Perry va prendre conscience que dans la vie, il faut savoir s’imposer et défendre ses idées. Cette nuit va complètement bouleverser sa vision des choses, pour longtemps. Voilà un roman complètement démentiel que je conseille vivement ! Le roman de Joe Schreiber est une sorte d’ovni littéraire : raconté sur un ton décalé, drôle et violent à la fois, aux personnages charmants et charmeurs, et qui bizarrement, fait un bien fou au moral.

Une fille à la mer de Maureen Johnson : 

Résumé : Clio, jeune Américaine de 17 ans, décide d’aller à Naples passer les vacances avec son père qui a quitté le foyer familial. A son arrivée, elle découvre qu’il a acheté un yacht sur lequel ils embarquent avec sa nouvelle petite amie, Julia, sa fille Elsa ainsi que Martin, un vieil ami, et Aidan le beau mais prétentieux assistant de Julia.

Maureen Johnson c’est le bien. Je ne suis jamais déçue par une livre de Maureen Johnson, et Une fille à la mer ne fait bien évidemment pas exception à la règle. Les personnages attachants sont là, l’héroine « normale » à qui il arrive des choses extraordinaires est là, l’histoire pleine de rebondissements est là, l’humour et la légèreté sont là… Du Maureen Johnson comme on l’aime !

Blackzone de Philip le Roy

Résumé : Sem, autiste et petit génie de l’informatique; Gwendoline séductrice pathologique; Méline spécialiste des sports extrêmes; Laurie dénuée de toute peur; Adrien accro aux jeux vidéo et Diego trisomique, doué d’une force herculéenne… sont réunis par le Dr Sheffer pour constituer la « brigade des fous », aux capacités d’analyse et d’action impressionnantes. Leur objectif : infiltrer l’entourage de Moon Kan Yun-Fa, un mafieux taïwanais installé près de Cannes.

Emprunté par curiosité, Blackzone s’est au final révélé être un autre petit ovni littéraire : six adolescents atteints de troubles psychologiques deviennent membres d’une unité d’élite chargée de protéger et/ou sauver la planète. Ecologiquement parlant, je veux dire. Car oui, cette unité a été créée pour s’occuper de ceux qui veulent détruire l’éco-système et mettraient ainsi la planète et ses habitants en danger ! On soupçonne quelqu’un de s’en prendre aux espèces animales menacées ? La Brigade des Fous est là pour vérifier tout ça, et le cas échéant, de régler le problème. Je ne sais pas où Philip Le Roy est allé chercher son idée, mais en tout cas, elle marche ! Voilà un roman terriblement divertissant et complètement déjanté qui ne cesse de nous surprendre à chaque page (ceux qui connaissent mon problème avec les auteurs français comprendront donc à quel point ce livre est particulier, si je dis qu’il est bien, c’est qu’il est vraiment bien)

Norfolk Towers Hotel (Londres)

Situé à quelques minutes de la station Paddington (Bakerloo et plein d’autres lignes), le Norfolk Towers Hotel offre toutes les commodités nécessaires à un bon séjour à Londres – que ce soit le temps d’un week-end ou d’une semaine.

Entrée

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