Street Dance | Max Giwa et Dania Pasquini

Lors de la dernière opération Cinétrafic, parmi les DVDs proposés, il y avait Street Dance 2. C’était l’occasion idéale pour – enfin ! – regarder le premier film qui était dans ma wishlist Amazon depuis un sacré moment !

Titre : Street Dance
Réalisé par : Max Giwa et Dania Pasquini
Avec : Nichola Burley, Richard Winsor, Charlotte Rampling, George Sampson…

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Synopsis : Alors que Carly et son groupe de street dance viennent de se qualifier pour la finale des championnats anglais, le sort s’acharne sur la formation avec le départ de l’un des membres et la perte de leur salle de répétition. C’est alors qu’Helena, une prof de danse classique, leur propose un marché : ils pourront répéter dans le luxueux studio de danse de l’Académie de Ballet si Carly accepte de partager sa passion avec ses élèves. Entre les deux univers, le choc sera détonnant à plus d’un titre…

Street Dance pourrait se résumer par « quand la street dance rencontre le classique« . Les Step Up 1 & 2 avaient déjà effleuré le sujet, Street Dance l’a consolidé : l’important ce n’est pas le style, c’est la danse et toutes les danses peuvent fusionner.

J’aime les films de danse. Le principe a beau être le même à chaque fois je ne m’en lasse pas. L’histoire est prévisible dès le synopsis : un groupe, un concours, un problème. Et dans 98% des cas, le groupe gagne bien évidemment le concours. Rien de spoilant donc à vous dire qu‘il en va de même ici.

Mais Street Dance a quelque chose de plus que les autres films du genre n’ont pas : l’histoire se passe à Londres ! Il n’en faut pas beaucoup plus pour me convaincre ! Ajoutez à cela un choc des cultures et c’est bon, je suis conquise.

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Enfin, pas tout à fait conquise : il faut aussi que les personnages soient sympas et les chorégraphies à la hauteur. Pour ce qui est des chorégraphies, ils auraient pu faire beaucoup mieux. D’ailleurs, par rapport à la prestation finale, on retiendra essentiellement la performance des danseurs classiques, ce sont vraiment eux qui ont fait tout le boulot.

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Mais les personnages sont sympas – et les acteurs excellents. Quand on sait que pour la plupart, c’était là leur premier « vrai » rôle (George « Eddie » Sampson et  Richard « Tomas » Winsor en tête), la performance vaut d’être soulignée. Comme je le disais, j’ai vu de nombreux films du genre, et souvent, les acteurs ont autant d’expression qu’un navet – j’ai donc été plus qu’agréablement surprise de voir qu’ici, ils s’en sortaient vraiment bien. Mais en même temps, ils sont britanniques – alors, évidemment, ceci explique cela (car oui, être britannique suffit pour avoir du talent, c’est bien connu)(enfin, dans 95% des cas en tout cas). Et puis, c’est toujours un plaisir de revoir des têtes connues, surtout quand on ne s’y attend pas (Patrick Baladi !).

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En bref, un film de danse dans les règles de l’artpas de réflexion, juste de l’admiration. Une fois de plus, un film qui vous donnera tout simplement envie de danser.

Et petit bonus, juste parce qu’Eddie, il rocks !

 

Demain, on parlera de la suite 🙂 (qui est meilleure sur certains points, moins sur d’autres)

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