C’est fou comme quand on est en vacances, on a encore moins de temps/de motivation pour faire les choses… Je vous dis pas le nombre de billets qui attendent que je les termine (en vrac : sur City Hunter, sur Kaleb de Myra Eljundir, sur The Crimson Petal and the White, sur des mangas…) mais je n’arrive tout simplement pas à m’y mettre… Ca viendra. Un jour. Mais pas demain, parce que demain je vais à OXFORD !! J’ai plein de choses à voir, à faire, à manger…
En attendant, je vous laisse avec ma découverte d’hier soir (merci Pandat adoré) : The Baseballs !
Et The Baseballs c’est quoi ? Un groupe de trois allemands spécialisé dans les reprises version « Rockabilly » ! Autrement dit : ils prennent des chansons hyper connues et en font un « Back to the Fifties » !!!!
Et ça marche nickel. Je suis FAN !
Ils ont fait pas mal de reprises déjà, mais je vous en mets une seule, plutôt d’actualité…
Parce que je suis sûre que vous avez déjà entendu une de ses chansons dans une série. Et qu’un artiste, qui plus est gallois, qui propose de télécharger gratuitement ses chansons mérite d’être connu.
Alors voilà, je vous présente Glass Pear(nom de scène de Yestyn Griffiths)
Wild Place
My Ghost
Je mets Wild Place et My Ghost, mais j’aurais pu mettre n’importe quelle autre chanson car elles sont toutes bien. Vous pouvez les écouter sur son site ou sur LastFm et les télécharger sur Bandcamp, ou alors regarder les vidéos sur Youtube Vous pouvez aussi lui dire que vous l’aimez sur Facebook ou discuter avec lui sur Twitter.
J’hésitais entre faire mon billet sur Tout ce qui brille de Anna Godbersen ou vous présenter Tom, l’abeille que j’ai adopté. Sauf qu’au moment où j’allais m’y mettre, je suis tombée sur ça :
Laurence Fox(dont j’ai déjà parlé ici de mon amour pour lui) qui chante (très bien) et joue de la guitare (encore mieux).
Et après on se demande pourquoi j’aime les acteurs britanniques… ils excellent en tout.
Vous pouvez écouter d’autres de ses compositions sur Soundcloud !
Parce que 25 avril (1974). Parce 38 ans de La Révolution des Oeillets. Parce que coup d’état moins sanglant et plus fleuri de l’histoire. Parce que Grândola, Vila Morena.
Vous n’avez rien compris ? Pas d’inquiétudes : Wikipédia est là pour vous, avec traduction des paroles et signification !
L’autre jour en rentrant chez moi (je dis l’autre jour mais je devrais plutôt dire le mois dernier étant donné le temps que ce billet traine), une enveloppe m’attendait sur mon bureau. Dans cette enveloppe se trouvait donc un CD : No Goodbye At All de Lady Linn & Her Magnificent Seven. (J’aime le nom)
Je vous recopie le petit speech officiel de présentation :
Pop rétro, cuivres étincelants, mélodies pop tourbillonnantes, le tout couronné par une voix émouvante : c’est Lady Linn ! Influencée par Duke Ellington, Dinah Washington ou Ella Fitzgerald, mais également par la pop des années 60 et par la bossa nova, Lady Linn avec sa frange à la Betty Page et son sourire radieux, débarque en France après un succès confirmé en Belgique. Lady Linn accompagnée de ses Magnificent Seven sortira au printemps prochain l’album No Goodbye At All produit par Renaud Létang.
Je ne connaissais absolument pas cette petite belge et ses 7 magnifiques avant cette écoute et sincèrement, j’ai bien accroché dès la première écoute !
C’est pop, ça swingue, ça donne envie de danser. En écoutant, j’ai envie de sortir ma robe courte, mon manteau ’60s et d’aller sur les plateaux télé des émissions style Hairspray pour danser avec Link. Un retour au temps où la télé en couleur faisait son apparition, où porter des robes/jupes courtes n’était pas considéré comme vulgaire, où on passait son temps libre au diner du coin à boire un Coca ou un milkshake servis par une fille en rollers ou à regarder des films au drive-in…
Seul soucis : les mélodies sont plutôt répétitives et une écoute quotidienne peut vite lasser. A écouter avec modération donc !
No Goodbye At All sortira le 19 mars prochain. Il sera composé de 12 chansons :
Cry Baby
Anything For You
Little Bird
Over
Good Morning – une de mes préférées
Good Old Sunday Blues – celle qui me donne envie de « swinguer »